DERRIÈRE L'ECRAN • PSEUDO: let me spell • ÂGE : • BLOC NOTE :
beauxmurs ⚳ a scrub is a girl that can't get no love from me (gary), le Ven 12 Jan - 19:57
Gary Beauxmurs
Nom : Beauxmurs. • Prénom : Gary. • Surnom : Du temps de Paris, on m'appelait Nord. Gary, Gare, Gare du Nord, Nord. C'était nul mais c'est resté. • Age et date de naissance : 31 ans, né le 24 février 1986. • Lieu de naissance : Paris. • Études/Métier : J'ai monté ma propre entreprise ; on organise des événements, comme des fêtes, des rassemblements sur un thème donné,... Avec la complicité des mairies alentours. Elle fait également office de société de service à la personne, me permettant de faire de nouvelles rencontres. • Statut civil : En quelque sorte veuf, son ex-compagne lui a laissé un cadeau en la personne de leur enfant, Milo. • Orientation sexuelle : Hétérosexuel. • Célébrité sur l'avatar : Ryan Gosling.
Physique :
On m'a toujours dit que j'étais un beau gosse ; je me suis cependant soucié de mon physique que depuis la naissance de mon petit bout, soucieux de lui plaire autant qu'aux autres. Il a pris de moi ces cheveux blonds, ces yeux bleu-vert. Quand il grandira, on verra encore s'il est aussi grand que son papa (je fais tout de même un bon mètre quatre vingt !). En cinq ans de pratique, la musculation m'a dessinée de jolis tablettes de chocolat, et je me suis senti plus fort que jamais. Mes cheveux sont parfois négligés, mais ma barbe ne dépasse jamais le stade fatidique des cinq jours. Je prête un soin particulier à mes vêtements, et j'ai un dressing bien rempli. J'aime les pièces un peu originales, je compte notamment dans ma collection une veste en jean avec des dessins de flamants rose, que j'adore.
Caractère :
La mort de Jules m'ayant réellement affectée, je garde en moi une part importante de tristesse, qui, peu à peu, s'est muée en une mélancolie toute aussi importante. J'ai donc parfois le regard un peu perdu dans la vide, quand je repense à elle. Mon fils est ma huitième merveille, son sourire me fait chavirer et même dans ses crises de colère, il m'émerveille, je l'adore et ferais tout pour lui (peut être parce que il ressemble tant à sa mère ?). Avec mes clients je suis toujours dans la déconnade, j'aime instaurer un rapport amical entre moi et eux, et je suis un grand blagueur. On dit de moi que mon charisme est impressionnant, et même si je ne le ressent pas, il paraît que chacune de mes blagues les font chavirer. J'aime le contact humain, et je ne suis absolument pas prêt encore à rencontrer quelqu'un et instaurer un rapport de séduction avec.
Histoire :
ouvre donc !:
Ça avait toujours été comme ça entre toi et elle. Tendre. Puis intense. Puis explosif. Puis destructeur. Tu l’aimais à en crever, Gary. Lorsque tu l’avais rencontrée, c’était à la sortie d’un lycée, tu marchais, et tu l’avais vue, Jules n’avait que dix-sept ans, tu en avais vingt. A l’époque, t’étais déjà un de ces gars qui sacrifiait quelques billets pour deux trois joints ; pourtant c’est en la voyant que tu t’étais mis à être totalement ailleurs. Elle avait ces longs cheveux blonds, cette peau de porcelaine, et ces yeux… Ah, ces yeux, de la couleur de l’océan, dans lesquels tu t’étais tant noyé. Nièce du meilleur ami de ton oncle, tu la retrouvais quelques mois plus tard à un mariage, étincelante dans sa robe orange. Elle avait à la main une bague d’or et de rubis, qui ne la rendait que plus désirable, mais également plus lointaine ; tout au long de la cérémonie, tu t’étais questionné, était-elle libre, ou serais-tu obligé de renverser un autre dans son cœur pour y prendre la place de chef ?
Tu l’avais donc abordé, soucieux de chaque détail, mettant même au point une démarche qui ne montrait que le meilleur de toi-même. Sa voix, douce, qui partait dans une sorte d’hystérie tendre quand elle riait, t’avait fait davantage flanché. Jules était parfaite. Lentement, tu avais su t’immiscer dans son esprit, envahissant ses pensées comme elle l’avait fait pour toi ; vous aviez échangé vos numéros de téléphone, et passiez de longues soirées à vous appeler, l’un et l’autre, jusqu’à ce qu’elle en ait eu marre ; elle voulait t’avoir en vrai, à côté d’elle dans cette salle de cinéma sombre qui diffusait un film dont aucun de vous, tu l’apprendrais plus tard, ne se souciait réellement. Tu étais confortablement installé, lui donnant une main ferme, pourtant emporté par un tourbillon de sentiments qui t’avaient jusque là été totalement inconnus ; elle aurait pu faire ce qu’elle voulait de toi, c’était elle qui menait votre danse.
En arrivant à Austin, il y a dix ans, à la suite de cet accident qui avait coûté la vie à tes deux parents, te rendant donc totalement dans le besoin de l’affection de cet oncle étranger que tu n’avais jusque là connu que ivre d’alcool et du bonheur de vous retrouver pour les fêtes familiales, tu ne l’aurais jamais imaginée, elle, cette déesse au corps fin, si fragile que tu avais peur de le briser, à la peau si douce, à cette odeur fruitée qui t’incitait à l’embrasser encore et toujours dans le creux de son cou, à ces cheveux qui te poussaient aux caresses d’une main dans le dos, et à tout ce qui faisait de Jules une aventure extraordinaire, un trip à part, un voyage pour lequel tu aurais perpétuellement pu racheter le même billet. Gary et Jules, Gary Jules, ça avait pas mal fait marrer ton oncle quand il l’avait appris, mais toi ça ne t’avait jamais fais rire, car Jules était pour toi ce que le ciel était aux astres ; un essentiel dans lequel tu te complaisais, brillant comme jamais auparavant, lumière éphémère qui t’apparaissait plus belle que tout le reste.
T’avais appris le français par ton père, l’anglais par ta mère, le mélange de ton prénom, anglophone sucré, avec ton nom, francophone Beauxmurs noble, mais jamais t’aurais su lui dire à elle combien tu l’aimais. Son nom, syllabe délicieuse, tu le prononçais avec envie, lui murmurant à quel point tu aimais le fait qu’elle ait fêté ses dix huit ans, lui chuchotant dans l’oreille que tu avais en toi un désir intense de caresser chaque parcelle de sa peau pâle, de goûter chaque fève de ce bijou qu’elle était à tes yeux. Elle fondait totalement à tes paroles, se faisant totalement tienne dans tes draps blancs, puis la journée, redevenait féline, maîtresse de vos actes, devineresse de tes déplacements, cheffe de toutes tes pensées. Votre appartement était un foutoir, plus ou moins rangé quand vous receviez des amis ou de la famille, et votre relation fut fusionnelle, délicate, explosive. Vint cet automne où, après avoir passé toute une nuit à pleurer, elle t’annonça sa grossesse. Ta joie ne put être contenue, tu hurlais de bonheur, heureux d’enfin avoir quelque chose qui vous relierait à vie, quelque chose de plus matériel que vos sentiments.
Six mois de plénitude, six mois d’une attente insupportable. Prématuré, il pointa le bout de son nez au bout du huitième mois de grossesse. En hommage à un grand nom de l’industrie du jazz, votre musique favorite, il s’appellerait Milo.
C’est là que tout s’était compliqué ; Jules était jeune, Jules avait mal, et son corps n’était absolument pas prêt. Elle ne t’avait jamais avoué ses problèmes médicaux, qui devaient normalement l’empêcher d’avoir un enfant ; tu avais alors compris ses larmes lorsqu’elle avait découvert qu’elle était enceinte ; tu avais analysé chaque scène des six mois passés depuis que tu savais pour le bébé, et à présent, tu devinais les raisons de chaque douleur, de chaque crise de panique, de chaque sentiment négatif qui avait pu l’habiter.
Tu avais beau comprendre, cela ne changerait rien. Jules savait dans quoi elle s’était lancée ; elle avait voulu te laisser une trace d’elle, sachant que de toute façon, elle ne voudrait pas vivre longtemps avec cette maladie. Cela te déchirait, et tu peinais à comprendre les raisons ; ses derniers mots te les donnèrent. Elle ne voulait que ton bonheur, que te voir sourire, et si elle pouvait te laisser une trace indélébile de son passage dans ton cœur, alors elle le ferait. Du bout des doigts, elle t’avait pointé Milo ; tu avais alors cerné toute la fusion qu’il y avait entre vous deux, toute cette tendresse, cette passion dévorante ; elle ne t’avait jamais dis je t’aime, mais ce qu’elle faisait à présent était une marque d’amour forte, infinie, qui te rongeait de l’intérieur.
Jules était morte. Votre ballet amoureux était fini. Mais tu avais Milo, ce fils que tu aimais tant, le gâtant toujours plus, voyant en lui les étincelles qui pétillaient autrefois dans les yeux de sa mère.
Prénom/Pseudo : let me spell. • Âge : Tu es bien indiscret dis donc ! • Présence : Activement présent. • Comment as-tu connu le forum ? Via un des top partenaires. • Premier compte ou multi-compte ? Multicompte de @"milan joplin" • Quelque chose à ajouter ?
- Il a les yeux bleu mais porte des lentilles marron, il n'y a que Matt, sont petit frère, qui soit au courant.
- Il a un tatouage d’ailes d’ange dans le dos, un des ailes est normal et l’autre n’est fait que d’os, il a aussi deux piercing a la langue horizontalement, et un plus intime.
- Il a un chiot husky yuki offert par Ryan avant sa mort.
- Il est toujours puceau T-T.
- Tyler n'as eut qu'une relation sérieuse (Ryan Carter RIP).
- Il a perdu son premier amour (Ryan Carter) dans un accident de voiture, ou lui a surveccu.
- Il est PDG de la Carter corps car Ryan la mit dans son testament.
- Il a aussi hérité de la fortune et d'autre bien de Ryan.
- Il essaye de tourné la page et de grandir mais il n'y arrive pas toujours.
DERRIÈRE L'ECRAN • PSEUDO: let me spell • ÂGE : • BLOC NOTE :
Re: beauxmurs ⚳ a scrub is a girl that can't get no love from me (gary), le Sam 13 Jan - 14:26
Merci tout le monde !
@Jason : il est sexy pour te prendre tous tes clients un par un et les faire siens ! merci en tout cas ! @Louis : tu sais déjà que ce sera avec plaisir honey